"Notre besoin de consolation est impossible à rassasier" Dagerman, traduction Philippe Bouquet.

Au fil de ma déambulation matinale, je suis retombé sur ce MAGNIFIQUE poème : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Il me semble qu'il a une place de choix dans l'étude du bouddhisme, en périphérie.

Avec une mise en musique par Tête Raide :





"Mais où est maintenant la forêt où l'être humain puisse prouver qu'il est possible de vivre en liberté en dehors des formes figées [...] ?"
[...]
"Aucune hache ne peut avoir de prise sur le silence vivant."



Lorsque je relis et ré-écoute ce poème, mon cœur se serre atrocement pour cet homme, si juste, qui a affronté de plein fouet la question "de la vie", et qui, semble-t-il, a fini, un jour, par perdre, vaincu par la dépression, alors que la pointe de son intuition était si précise...