Re: L’amnésie du bodhisattva

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Bien que le démiurge Shìjiè shù ne donna pas à Háizi le pouvoir d’égaler son art il lui donna le désir naturel de chercher à y parvenir.

Sǐzhě yuàn zhǎng commentera : La fleur de Háizi est belle, la fleur de Shìjiè shù est Shìjiè shù.

Rem. Messages : 719 Date d'inscription : 01/03/2020

D'où cela est-il tiré ?

C'est très beau.

Je le tire de mon fameux dico des symboles, toujours le même.

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Fāyá 发芽 dit : "Que reflète le miroir ? La vérité la sincérité, le contenu du coeur et de la conscience : Comme le soleil, comme la Lune, comme l’eau, comme l’or."

Si JE gratte, l’AUTRE apparaît.

Xiǎo dēng dit : « 4 + 2 = 6 »
« Ne vous arrêtez pas là » dit Qiáng guāng
«Où ne dois-je pas m’arrêter ?» demande Xiǎo dēng
Confus, Qiáng guāng répond : « Vous avez raison, 4 + 2 = 6. »

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Le carré est le symbole de la terre, par opposition au ciel.

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Háizi créa le carré et le cube, nature latente de la sphère créée par Shìjiè shù.

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« La lumière bleue grise » dit Nóng wù « n’est pas éclatante. Elle peut sembler sans action. Elle ne décale pas Wú kǔ chá par rapport à Tiě bēi, quand l’un est à l’ombre il en est de même pour l’autre, quand l’un est à la lumière l’autre s’y trouve également. Quand Wú kǔ chá parle à Tiě bēi, Tiě bēi l’écoute et il en est de même lorsque Tiě bēi parle à Wú kǔ chá : chacun est ainsi à son aise. Lorsque Zǎochūn doit rendre visite à Chàndǒu, celui-ci l'attend sans impatience, et lorsque Zǎochūn repart, aucun des deux ne sent avoir perdu une occasion de parler.»

Al-Ikhlas a écrit:

tchamba a écrit:Je n'y comprends rien mais ça ne me dérange pas.

J'ose espérer que tu te souviennes au moins que le Bouddha historique n'a pas eu besoin d'archives pour se remémorer ses vies antérieures.

« Entre le sommet de la montagne Lěngdòng shān mùchǎng et la vallées Rèdài huāyuán », dit Méiyǒu guāng de yǐngzi, « se trouve une dimension où même un esprit aussi nuancé que celui de Qīngxī de qíngbào ne peut se rendre.»

Disons que c’est un peu comme dans le jeu de tarot, où l’addition des points de part et d’autre doit faire un total de 0, mais il y-a cependant une différence entre ne pas jouer où par définition aucun point n’est marqué (0) et jouer.

C’est un peu la même différence qu’il ya entre écrire : -1 + (-1 + 1 ) + 1 qui exige un certain "travail" et même si très rudimentaire une certaine connaissance, et écrire directement le nombre 0, voire ne rien écrire du tout, ce qui correspondrait à une manière de se mettre en vacance.

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Sans commencement ni fin

Comme s'il s'y était trop enfoncé, et qu'il était devenu comme un escargot sorti de sa coquille, vivant à peine.
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Depuis que l’escargot est sorti de sa coquille, il va au musée.

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Le Bouddha paresseux...

Kekkai a écrit:

SHim a écrit:

Le Bouddha paresseux...[/center]

Le Bouddha paraitsel

Tout comme le grand océan n'a qu'un goût,
le goût du sel, où que vous puissiez goûter l'eau de ce grand océan ;
de la même façon, mon enseignement a un seul goût.

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En Asie, l'eau est la forme substantielle de la manifestation, l'origine de la vie et l'élément de la régénération corporelle et spirituelle, le symbole de la fertilité et celui de la pureté, de la sagesse, de la grâce et de la vertu. Fluide, sa tendance est à la dissolution ; mais, homogène, elle l'est à la cohésion, à la coagulation. Comme telle, elle pourrait correspondre à sattva, mais comme elle s'écoule vers le bas, vers l'abîme, sa tendance est tamas ; comme elle s'étend à l'horizontale, sa tendance est aussi rajas.

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« Regardez háizi, vous êtes capable de voir ! » s’extasia Hǎo jízhōng

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Regarder la vision

Ecouter l'audition

Toucher le toucher

Sentir l'olfaction

Goûter la gustation

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-Conque-

En Chine, une grande coquille était utilisée pour tirer l’eau de la lune, c’est à dire la rosée céleste, mais aussi l’élément yin ; le yang, le feu était tiré du soleil, à l’aide d’un miroir métallique.

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aum