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- tchamba
- Messages : 429
Date d'inscription : 29/02/2020
"se détacher du détachement" c'est une ânerie lue sur des forums qui ne correspond à rien et ne veux rien dire.
- S.Invité
C'est pas toi qui disais:tchamba a écrit:"se détacher du détachement" c'est une ânerie lue sur des forums qui ne correspond à rien et ne veux rien dire.
"Te peux te raconter toutes les histoires que tu veux concernant Jésus... Qui ira te contredire?"
" Celui-ci est renoncement à toute production de la conscience et jusqu'au renoncement à l'idée même de renoncer. Cette non demeure est à concevoir comme non production de déterminé. Sans aucun souvenir, sans aucune attache, c'est la condition propice pour que la conscience propre (skandha) fonctionne en harmonie avec la conscience unitaire (dharmadhatu). Comme le mentionne Huineng dans le Sūtra de l’Estrade : « Il suffit que samādhi soit là pour que prajnâ soit là et vice versa... ». Les trois aspects de la triple pratique du dhyana fonctionnent comme un tout organique dont on ne peut isoler un élément ; c'est pour des raisons pédagogiques que cette distinction a été introduite.
Dans la tradition zen, zazen est le prototype de l'union du sila, du samādhi et du prajñā."
wiki
Samadhi....
- " le pain sans levain"...Invité
sans chercher à "contredire" quiconque, ça ne veut pas forcément dire de renoncer au renoncement, mais "à l'idée de renoncer", je l'entends plus par le fait que ce qu'ils appellent "le fonctionnement de la conscience propre", "s'harmonise", comme ils disent, dès lors naturellement, si on peut dire, sans forcer. Alors qu'il a fallu forcément forcer au moins un petit peu avant ne serait-ce que pour "s'asseoir"... C'est comme l'art de se faire bannir, il faut se faire bannir plusieurs fois avant de faire corps avec le bannissement, ou n'importe quel autre "art", la musique etc...S; a écrit: jusqu'au renoncement à l'idée même de renoncer.
zazen lui-même n’est rien d’autre que « l’abandon du corps-esprit ». C’est le fait d’échapper à toutes sortes de résistance. Quand nous sommes assis en zazen, notre corps-esprit s’abandonne naturellement et le vrai Dharma se manifeste.
- tchamba
- Messages : 429
Date d'inscription : 29/02/2020
S. a écrit:C'est pas toi qui disais:tchamba a écrit:"se détacher du détachement" c'est une ânerie lue sur des forums qui ne correspond à rien et ne veux rien dire.
"Te peux te raconter toutes les histoires que tu veux concernant Jésus... Qui ira te contredire?"
" Celui-ci est renoncement à toute production de la conscience et jusqu'au renoncement à l'idée même de renoncer. Cette non demeure est à concevoir comme non production de déterminé. Sans aucun souvenir, sans aucune attache, c'est la condition propice pour que la conscience propre (skandha) fonctionne en harmonie avec la conscience unitaire (dharmadhatu). Comme le mentionne Huineng dans le Sūtra de l’Estrade : « Il suffit que samādhi soit là pour que prajnâ soit là et vice versa... ». Les trois aspects de la triple pratique du dhyana fonctionnent comme un tout organique dont on ne peut isoler un élément ; c'est pour des raisons pédagogiques que cette distinction a été introduite.
Dans la tradition zen, zazen est le prototype de l'union du sila, du samādhi et du prajñā."
wiki
Samadhi....
Si pour le zen tout ce que tu sais vient de wiki et de zen et nouille... faut pas s'étonner que tu ne comprennes rien à rien.
Qui a écrit ce texte? On ne sait même pas.
Pis le renoncement ce n'est pas la même chose que le détachement....
Je sais bien que pour toi tout est pareil et tout est dans tout... comme dans tout gloubiboulga new age.
Je maintiens "se détacher du détachement" ça ne veut rien dire.
Renoncer au renoncement... à la limite. Cela signifie qu'il ne faut pas faire du renoncement une règle absolue.
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